On se demande souvent pourquoi les traders et autres banquiers défendus par Christine Lagarde (encore à l’instant sur Canal+) fantasment sur les arbres qui grimpent jusqu’au ciel ou conduisent des économies droit dans le mur tout en assurant un maximum de profits pour le top 1% des revenus pour privilégiés ?

Les suisses toujours en avance, ont trouvé pourquoi ! 

Les problèmes des banquiers dépendants sont différents de ceux des toxicomanes de rue, note M. Zullino. Grâce à leur pouvoir d’achat, ils consomment une cocaïne plus pure, plus fiable, plus constante aussi. «Même si cela n’enlève rien à sa dangerosité, ça évite des problèmes supplémentaires que l’on rencontre avec des produits davantage frelatés».

Les banquiers cocaïnomanes souffrent en outre moins de polytoxicomanie et les séquelles sociales sont d’habitude moins sévères, précise le médecin-chef. Le traitement peut se concentrer sur les conduites addictives, sans devoir «réparer les dégâts sociaux». Les banquiers ont davantage de chances de sortir de leur addiction que d’autres toxicomanes.

Nous sommes donc sauvés, il est possible que les banquiers sortent un jour de leur addiction au profit immédiat ! Ah non, zut, ça ne parlait que de cocaïne.