Bon, ça commence à bien faire ces appels à la dissolution du PS ou changement de nom. Le dernier coup de canon foireux et merdeux vient de BHL le bazard de l’hotel de ville de la philosophie. C’est simple, le PS apparartient à ses militants, et donc c’est à eux de décider un jour ou l’autre ce qu’on doit faire.

Donc BHL est prié de se taire, Asklolovitch la créature méphitique et malfaisante a trouvé le moyen de montrer son envie de provoks et désir de salopage de la gauche.

Il lui a suffi d’interviewer le philosophe, et de poser les bonnes questions, pour que l’autre andouille chevelu réponde selon l’orientation décidée: Donc, le PS va mourir? Donc, pour vous, il faut achever le Parti socialiste? Et comment le dissoudre?

CSP aurait-pu faire l’interview et poser les mêmes questions. Le but est simple, faire de la petite phrase, commenter des postures et générer du buzz médiatique: les chaines d’infos reprennent le troll. Il faut donc dissoudre BHL, ça commence à suffire ces attaques et conneries. Il serait peut-être bien que Ségolène envisage de ne pas confier une université populaire à ce type: il est plus dangereux qu’un éléphant sous LSD dans un magasin de porcelaine.

Le PS appartient aux militants, et oui, alors troll Titiste qui te dit que voilà un adepte de la sorcière donner un coup de pelle à BHL… attend un peu: Ces militants là demandent à être consultés sur l’emploi et l’économie. Sur l’économie nous n’aurons pas de vote dans la convention, et pour l’emploi c’est une journée hors statuts du PS. Donc une vaste plaisanterie… de ça j’ai parlé et j’en reparlerai, croyez moi, cette plaisanterie est plus importante que l’interview d’un philosophe par une péripatéticienne de la presse sarkozyste. D’ailleurs ce lèche burnes est une plaie pour la gauche, n’oubliez jamais que c’est lui qui a aidé le traitre-étalon Besson à rédiger son brûlot en 2007.

Et toi troll MoDEM: ne rigole pas trop, par ce qu’un autre con mérite la dissolution : c’est l’inimitable Jean-Francois Kahn. C’est lui qui a commencé avec les idées de dissolution du PS qu’il rependait via Marianne dans de fievreux poncifs à la gloire du béarnais.