Il faut le piquer, c’est pas possible ! Ou alors lui donner un coup de pelle, voilà ce qu’il a proposé dans une interview au Parisien, le 29 janvier. Lisez bien tout ça.

Votre objectif, c’est d’empêcher les grèves de cinquante-neuf minutes ?

Absolument. Il faut lutter contre ces subterfuges qui font qu’il y a un coût maximal pour l’usager et un coût minimal pour le gréviste. Je propose que chaque minute de grève aboutisse à une retenue salariale d’une journée. La grève est un droit, mais elle ne doit pas être banalisée ou contournée. Je propose également de procéder à des réquisitions de personnels en cas d’atteinte graves et prolongées à la liberté de circuler.


Voilà c’est donc ça la notion de dialogue social pour les députés UMP, ou du moins une partie d’entre eux. Une minute de grève va en entraîner une journée de retenue salariale. Cet andouille ne se rend pas compte que dans ce cas, on n’assistera donc plus qu’a des grèves de toute une journée, quitte à perdre une journée de travail!