Lu sur équilibre précaire un  blog que je vous incite à lire régulièrement.

La secrétaire de l’école où je fais difficilement mes sept heures par semaine, gagne dans les 800 euros par mois ; c’est un emploi-solidarité car Pamina est une ancienne RMiste et son salaire est pris en charge, à 85%, par l’état.Notre directeur à toutes les deux me l’avait décrite comme une allumée, une hystérique un peu neuneu qu’il ne garderait sûrement pas lorsque l’état ne payerait plus son salaire.

La suite du témoignage est cruel de vérité. Des envies, des désirs, de l’intelligence… tout y est, mais rien ne s’est produit. Tout cela brisé par la précarité, ce mode de fonctionnement de la société qui fait prospérer les marchands de misère et exploiteurs de malheurs. Non, rien n’a changé depuis le 19ième siècle: La misère est de retour, elle cible de plus en plus les personnes seules, larguées du monde du travail par ces winners et autres crevures à la peau glabre avec costume 3 pièces.

Et sinon, François, tu te retire les doigts du cul, et maintenant tu fais des phrases simples avec des chiffres quand tu passe à la télé. Par ce que ça commence à faire chier tout ça, et tu peux aussi mettre une torgnole à Valls pendant qu’on y est et range un peu le PS avant qu’on reprenne les choses en main.

La suite de l’histoire de Pamina est  ici , là, cliquez ici allez zou !