Décidément les wanabee dindes médiatiques sont capables de faire des efforts considérables pour se faire remarquer. Quitte à enfoncer le mur du çon et d’établir de nouveaux records. Voici donc avec Hervé Morin, que des 1/4 de cerveau se réveillent. Attention c’est du fort , posez votre café avant de cliquer, je vous aurai prévenu.

Et voilà :

 

Nettoyez votre écran, voilà la suite :

Cette Béatrice Houchard n’est pas née de la dernière pluie. C’est une journaliste politique de la prvada : le Figaro. Elle collabore au blogcoulisses de campagne 2012“. Cette Béatrice ose tout : “Du calme, M. Le Guen.” . Elle est adepte des comparaisons osées pour une salariée d’un média de droite faisant la promotion de choses tordues : “Mais la lessiveuse, Eva Joly s’y est précipitée toute seule, tête baissée, avec beaucoup d’intransigeance et pas mal d’amateurisme.

En tout cas, là Béatrice Houchard a franchi un cap à Mach2: Envisager de comparer Mendes-France et Herve Morin, il faut oser. C’est oublier que Morin a croqué du Sarkozysme à pleine dent, lui aussi est comptable du bilan de Sarkozy, ainsi que complice. Et cela il ne pourra pas le nier en se drapant tel un voleur dans l’uniforme d’un resistant:

De cette terre de Normandie, j’en appelle à la Résistance“.

Résistance à quoi? à qui ? Il est comparable à ces résistants de la dernière heure, occupés à bruler les traces de leur passé pour se donner une nouvelle virginité. Mais Morin n’est pas né de la dernière pluie. Il s’est couché avant qu’on lui demande devant toutes les horreurs du Holliganisme Bling-bling. Tout au plus, comme les autres pitres Borloo et Rama Yade, il a utilisé de pénibles constructions verbeuses pour marquer une différence dont l’épaisseur n’est pas visible à l’oeil nu.

Mendès a eu des propos qui portent encore, surtout en ces temps de comédie odieuse où des marionnettes obéissent à Merkel et aux banquiers:

L’abdication de la démocratie peut prendre deux formes, elle recourt soit à une dictature interne par la remise de tous les pouvoirs à un homme providentiel, soit à la délégation de ses pouvoirs à une autorité extérieure, laquelle au nom de la technique exercera en réalité la puissance politique, car au nom d’une saine économie on en vient aisément à dicter une politique monétaire, budgétaire, sociale, finalement une politique au sens le plus large du mot, nationale et internationale.

 

C’est d’un tout autre niveau que Morin, l’âne du nouveau cintré ! Avec ce pénible cuistre, on risque de lire de nouvelles saillies d’apprentis editocrates ! Abonnez vous donc au flux RSS du blog du Figaro sur les coulisses de la présidentielle.