En cas de grippe porcine
Que faire en cas de grippe porcine ? Voici un conseil fort simple, qui respecte l’environnement et les règles de recyclage. La porcine influenza, avec le VIP ( Virus Influenza Porcine) tout le monde en parle.. Mais que faire si ça ce déclanche vraiment.
Je suggère qu’on soigne le mal par le mal, en prenant exemple sur cette vidéo:
En effet (enéfé) en cas d’épidémie ou de pandémie de grippe porcine A/H1N1 des tonnes de cadavres de vieux et autres personnes sensibles rempliront les rues. Ca va être long et fatidieux à nettoyer. Il conviendra alors de lancer des commandos de cochons après avoir découpé les macchabées. En n’oubliant pas que les cochons, truies, verrats et autres laies doivent être mis à la diète quelque temps pour rendre l’opération plus rapide et de prévoir un temps de repos pour le commando nettoyeur.
Une fois ceci fait, on remet les cochons dans l’elevage, puis quelques mois plus tard on en fera du paté, du roti et autres charcuteries. Il faudra bien sûr occire le cochon, ce qui une chose assez inhumaine, ça pleure et ça couine.
Voilà donc pour le recyclage ! Et on notera que le cochon ne flatule pas autant que la vache, il ne rejète pas de methane gaz à fort effet de serre.
Pratique non ? N’ayez pas de haut-le coeur, il semble que cette pratique ait déjà existé dans nos campagnes. Les enfants nés de travers étaient donnés à manger aux cochons qui finissaient en pâté. Comme on le dit dans les campagnes, dans le cochon tout est bon !
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This entry was posted by Rva on April 28, 2009 at 1:35 pm, and is filed under Monde en Vrac. Follow any responses to this post through RSS 2.0.You can leave a response or trackback from your own site.
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La confusion des genres de l’époque – liant politique, spectacle et sentimentalisme – permet à l’émotion de dicter ses vérités au doute raisonnable.
La polémique pérennise le besoin de procuration des sans pouvoirs et des rebelles éternels.
Lorsqu’il n’y a plus de frontière entre la noblesse et la simulation, le mensonge devient le principe moral de l’honnêteté.
Les belligérants profitent des dégâts collatéraux que subissent les alibis et créent des produits dérivés à durée limitée pour les hebdomadaires.
La suite : http://souklaye.wordpress.com/2009/… -
#8 written by julie 3 years ago
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#10 written by BA 3 years ago
Un enfant de 23 mois est décédé de la grippe porcine au Texas (sud), la première mort confirmée de cette maladie aux Etats-Unis, ont annoncé mercredi les Centres de maladie et de prévention américains (CDC). Le jeune enfant était allé au Mexique avec sa famille, ont indiqué les autorités sanitaires américaines.
La France, qui signale deux cas probables de grippe porcine sur son territoire, a annoncé mercredi qu’elle demanderait à l’Union européenne la suspension des vols vers le Mexique, épicentre du virus H1N1.
http://www.lexpress.fr/actualites/2…
Face à la menace d’une épidémie de grippe porcine, le professeur Didier Raoult, chef du laboratoire de virologie de l’hôpital de la Timone à Marseille, tire la sonnette d’alarme. Dans une interview à La Provence, il affirme que le risque est bien réel et que, surtout, la France n’y est pas préparée.
« Les conditions d’une vaste propagation sont réunies. La grippe est survenue dans une mégapole, avec un aéroport qui dessert de très nombreuses destinations. Or, au bout de 4 heures de vol, 70 % des passagers sont contaminés par les virus respiratoires, souligne Didier Raoult. Tout en ayant un vaccin à disposition, on ne sait déjà pas gérer la grippe saisonnière en France ! Il y a, chaque année, plus de 2 millions de cas de grippe et 5.000 morts dans notre pays, alors, imaginez ce qui peut se passer avec un nouveau variant et sans vaccin. On court à la catastrophe ».
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#12 written by BA 3 years ago
Dimanche 3 mai 2009, le journal Sud-Ouest interroge Bruno Lina, directeur du Centre National de la Grippe :
Sud-Ouest : Quelles sont les hypothèses pour les semaines à venir ?
Bruno Lina : S’il y a une grosse épidémie, 35 millions d’individus peuvent être touchés en France. Et en cas de pandémie, dans deux ans, les 6 milliards d’individus de la planète seraient contaminés. Les décès représenteraient de 0,1 % à 3 % de la population du globe. C’est l’OMS (Organisation mondiale de la santé) qui, en remontant son niveau d’alerte, indique qu’elle estime qu’il y a pandémie. Le Tamiflu stocké pour la grippe aviaire est efficace pour traiter ce type de grippe. Il a été administré avec succès aux États-Unis. Et il est inutile de se précipiter dans les pharmacies, les antiviraux ne sont efficaces que lorsque la grippe est déclarée.
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La médecine a fait des progrès certes mais n’a as à son actif de nouveauté majeure…
Les grands léaux de notre temps ne connaissent toujors pas de vaccins ou d’équivalent
Ce qui a surtout fait accroitre l’espérance de vie c’est :
- La prévention
- Une meilleure hygiène de vie
- Le savoir
Je n’ai jamais dit qu’il fallait paniquer…En effet
1. d’une part c’est le meilleur moyen de perdre son sang froid
2. Il faut prendre garde aux effets médiatiques…plus il y a de la tourmente et pus on fera du tirage
En conclusion :
Pas de panique mais soyons vigilants
Ma Grand Mère est morte de la gripe espagnole en 1918….Ma mère s’est mise à bosser à l’âge de huit ans parce qu’elle n’avait plus de mère….
Sachons rester humble et respectons les conseils de ceux qui vous en donnent…
Vous savez qu’il y a toujours plusieurs lectures du même message…Peut être ferez vous plus confiance à tel ou tel conseilleur…Sachez discerner le vrai du cri inconsidéré…Vos propos me laissent à penser que vous êtes en mesure de le faire -
#14 written by BA 2 years ago
1- AU TRAVAIL.
Pour faire face à un fort absentéisme au travail dû à la maladie, la convalescence, la présence au chevet d’un malade ou la fermeture des crèches et des écoles, chaque entreprise et chaque administration doit, selon les recommandations du plan national, prévoir à la fois des mesures d’organisation du travail pour permettre la poursuite de son activité, mais aussi des mesures de protection de son personnel.
Les entreprises sont en train de passer leurs commandes de masques, de solutions hydroalcooliques pour le lavage des mains, de sacs pour recueillir les déchets…Elles doivent aussi décider quelles seront leurs missions à assurer en toutes circonstances, celles qui pourront être interrompues pendant une à deux semaines, celles qui pourront être suspendues pendant huit à douze semaines. Le télétravail pourrait être une des solutions retenues par les entreprises, car il permet de réduire les risques de contamination sur le lieu du travail et dans les transports en commun.
Au plus fort de l’épidémie, les réunions, les rendez-vous physiques et, de manière générale, tout rassemblement qui générera une grande concentration humaine seront déconseillés, différés, voire supprimés, au profit d’Internet, du téléphone ou des visioconférences.
2- A LA MAISON.
Déjà, les Français n’ont pas attendu pour s’équiper de masques chirurgicaux et de solutions désinfectantes pour les mains. « Ça s’est vendu comme des petits pains, se félicite un pharmacien parisien. Beaucoup en ont mis dans leurs bagages avant de partir en vacances, ils en ont acheté aussi pour leurs enfants qui partaient en colo. » Un bon réflexe, car les autorités sanitaires ne cessent de le rappeler depuis le début de l’épidémie : l’hygiène, qui passe avant tout par le lavage des mains, est la meilleure barrière contre le virus. A la maison, il est conseillé de nettoyer soigneusement objets et surfaces fréquemment touchés par la famille (poignées de porte, toilettes, robinets, interrupteurs, télécommandes…) avec les produits d’entretien habituels.
Aérez en grand quelques minutes par jour, plusieurs fois dans la journée, notamment les chambres, pour renouveler l’air et assainir l’atmosphère. Une bonne habitude à prendre dès maintenant… Si vous êtes concerné, vous pouvez déjà avertir la mairie pour figurer sur la liste des personnes vulnérables (personnes âgées dépendantes ou handicapées). Au plus fort de l’épidémie, il sera recommandé de différer les grands rassemblements familiaux (anniversaires, mariages…).
3- DANS LES BANQUES.
Depuis trois mois, la Société Générale, comme la plupart des banques françaises, est sur le pied de guerre. Tous les salariés ont été invités dès la fin avril à consulter les sites Intranet du groupe pour se tenir informés de l’évolution de la situation. Une cellule de veille centrale pour assurer le suivi de la maladie et la coordination des actions en interne a été très vite mise en place. « Un directeur de crise grippe A/H1N1 a été désigné par le comité exécutif », explique un cadre du groupe de La Défense. En cas de pandémie, la banque sera ainsi à même de déclencher un véritable dispositif de crise. « Ce qu’il faut, c’est avant tout garantir la sécurité et les conditions de travail de nos collaborateurs afin de maintenir l’activité, explique-t-on. Pas question qu’aux effets négatifs de la crise économique s’ajoutent ceux de la grippe. »
Principale arme antivirus : les masques. Des stocks ont été constitués et seront distribués tant au personnel présent au travail qu’aux clients et aux visiteurs. La Société Générale a d’ores et déjà procédé à un prépositionnement des masques sur les sites pour garantir une distribution en moins de quarante-huit heures. Les voyages sont aussi triés. En juin, 4 zones à risque étaient identifiées : Mexique, Etats-Unis, Canada, Japon. La validation des voyages dans ces pays est laissée à la discrétion du manageur. Enfin, en cas de besoin, le télétravail, ainsi que l’utilisation de sites de secours informatiques et de « sites de repli » seront privilégiés.
4- A L’ECOLE.
Comme cela a déjà eu lieu fin juin, la fermeture des écoles sera décidée dès lors que des élèves seront touchés, car les enfants sont les principaux vecteurs de transmission de la grippe. Si de nombreux établissements viennent à fermer, les élèves pourront suivre des cours sur France 5 ou sur France Culture. L’Education Nationale a fait réaliser 264 heures de programmes pédagogiques pour la télé et 288 heures pour la radio.
Ils pourront aussi suivre des cours à distance avec le Centre national de documentation pédagogique (CNDP) et le Centre national d’enseignement à distance (CNED). Les diffusions interviendraient une semaine après la fermeture des écoles et pendant toute la durée de la fermeture. Des enseignants assureront des permanences dans les écoles pour assurer le suivi et l’aide aux devoirs et aux exercices.
5- DANS LES MAGASINS.
Dans la grande distribution, les cellules de crise pullulent : une à la FCD – Fédération du commerce et de la distribution – une au siège de chaque magasin. « Pour l’instant, on en est aux mesures d’hygiène, de précaution et d’information », note Muriel Hoyaux, porte-parole de la FCD, signataire d’un document de « repères » pour les hypermarchés, lequel balaie les mesures à prendre en fonction de l’état épidémique. Au pire : interdiction aux clients de s’agglutiner, recours à des vigiles anti-pillage, ou rationnement.
« Notre cellule de crise est active depuis la fin avril. Actuellement, elle travaille à favoriser une hygiène maximale. Pour les employés des magasins et des bureaux, un affichage rappelle qu’il faut se laver les mains souvent, détaille-t-on chez Carrefour. Notre groupe a déjà constitué un stock de masques destinés à ses collaborateurs. »
Si la France passait au stade 5b (NDLR : aujourd’hui, on est à 5a), il est prévu de créer en magasin des signalisations au sol – comme dans les aéroports – face aux caisses afin d’encourager une distance minimale entre les clients, de protéger les denrées de la contamination avec des films plastique, et d’encourager la vente par Internet.
En cas d’absentéisme du personnel, les heures d’ouverture pourraient varier, les rayons à la coupe ou non alimentaires pourraient fermer. Au stade 6, il est envisagé de placer des agents de sécurité pour éviter la psychose et les vols, de limiter les achats par client, et de recourir au télétravail et à la livraison.
6- DANS LES TRANSPORTS EN COMMUN.
Lieux de brassage de la population, les différents transports en commun ont déjà mis au point leurs plans d’action.- La RATP a déjà prévu une réserve de masques permettant à ses 45 000 agents de se protéger pendant dix semaines. En ce qui concerne les voyageurs, les écrans d’informations des gares afficheront, si besoin, des messages d’information sur les mesures d’hygiène à adopter. Même en cas de forte épidémie, le trafic restera normal. Seule est envisagée la fermeture de certaines stations si les agents venaient à manquer.
- La SNCF, elle, est plus draconienne. Des affiches et des annonces sonores en plusieurs langues rappellent déjà en ce moment aux voyageurs les précautions à prendre. En cas de niveau d’alerte 6 en France (le niveau maximal), une réduction du trafic des trains sera décidée. Ne seront maintenus que les liaisons domicile-travail en nombre restreint ainsi que les axes essentiels des trajets grandes-lignes. Seuls les trains de marchandises vitaux (transport d’hydrocarbures, de denrées alimentaires…) seront autorisés à circuler. Enfin, outre le nettoyage des trains, le contact avec le public sera limité et protégé grâce à un stock de huit millions de masques.
- Dans les transports aériens, le personnel d’Air France distribue déjà pour les voyageurs au départ et en provenance des pays contaminés des fiches d’information. Ces mêmes passagers rempliront également des documents permettant de les retrouver et de prévenir les occupants des sièges voisins le cas échéant. Aucune protection particulière n’est encore envisagée pour les employés.
7- DANS LES STADES.
Les instances sportives sont sur le pied de guerre. En relation permanente avec le ministère de la Santé, la Ligue de football professionnel (LFP) a envisagé tous les scénarios. En cas de pic de l’épidémie cet automne, les matchs pourraient se dérouler à huis clos. « On n’exclut pas de reporter certaines rencontres, voire une ou plusieurs journées de championnat, si trop de clubs sont contaminés ou si le risque est trop grand », précise-t-on à la LFP.
Des mesures similaires pourraient être appliquées dans les autres sports collectifs ou individuels. Une première donc ! Jusqu’à présent, seules les deux guerres mondiales avaient réussi à interrompre, sur la durée, des manifestations sportives. Ces mesures de santé publique ne sont pas sans conséquences sur la vie d’un club. « Un huis-clos aura des répercussions négatives en termes de billetterie et sera difficile à expliquer aux supporteurs », explique
Philippe Boindrieux, le directeur général du Paris Saint-Germain. « Par ailleurs, que se passera-t-il si plusieurs joueurs d’une même équipe sont contaminés ? Ou si le championnat s’arrête plusieurs semaines ? » se demande-t-il.Pour limiter la désorganisation, la Ligue de football a d’ores et déjà prévu de mettre en place une cellule de crise. « Imaginons qu’une équipe dont plusieurs joueurs sont malades déclare forfait. Selon notre règlement, dès qu’il y a forfait, il y a défaite, explique-t-on à la LFP. Or, dans ce cas précis, ce serait injuste. La cellule de crise sera donc là pour déterminer le degré de contamination d’un club et si cela justifie ou non de ne pas se présenter au stade.»
8- ET AUSSI…
- Les salles de concert et les boîtes de nuit. Aucune mesure n’est en cours, ni envisagée. Seul le Moulin-Rouge, qui brasse une population internationale, a distribué à son personnel des informations sur les mesures d’hygiène à adopter. Tout comme le Zénith de Paris ou la discothèque la Locomotive, il reste dans l’attente des décisions gouvernementales.
- Les cinémas. Qu’il s’agisse de Gaumont-Pathé ou d’UGC, les directions n’envisagent rien pour l’instant tant qu’aucune consigne émanant des autorités ne sera donnée. La fermeture des salles pourrait toutefois être décidée en cas de très forte épidémie en France.
- Les restaurants. Les entreprises de restauration rapide – comme McDonald’s – ou de service à table – comme le groupe Flo – sont en train de définir leur plan d’action. Au delà des décisions des pouvoirs publics, les enseignes rappellent que la fermeture des établissements ne se fera, là encore, que si le nombre de cas explose. La direction du groupe Flo réfléchit également au maintien partiel de l’activité (vente à emporter, livraison à domicile). En revanche, pas question pour l’heure, ni chez l’un ni chez l’autre, de faire porter des masques aux employés.
- Les parcs d’attractions. Même Mickey surveille l’évolution de la grippe A. Déjà, les employés deDisneyland Paris ont été informés des mesures d’hygiène à suivre pour éviter toute contamination. Si la fermeture n’est à ce jour pas envisagée, sauf décision du gouvernement, le parc pourrait faire porter à ses employés des masques sur les attractions.
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J’avoue ne plus rien y comprendre. Les entreprises font plein de choses mais je reste paumé.
Au début on me dit “lavez-vous la main au savon”, maintenant je dois utiliser un truc hydro alcoolique; on me file un masque de construction, puis on me demande de mettre un masque FFP2 puis je lis qu’il y a du FFP3.Je crois que personne ne comprends ce qui se passe et que tout le monde essaye de vendre ce qu’il veut.
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